Le pari : réunir une diversité de personnes lors d’une journée de sprint afin de faire émerger une vision commune et des actions concrètes. Des hésitations initiales ont émergé : « Une journée, est-ce que ce sera suffisant ? On mobilise beaucoup de monde… On ne voulait pas que ce soit un coup d’épée dans l’eau », se demandait le secrétaire général de l’Université, Martin Hudon, en amont. Mais les attentes ont finalement été dépassées et la formule intensive a été adorée : « L’équipe avait des attentes modérées, mais elles ont été dépassées. On est ressortis avec des résultats concrets et une dynamique d’action », témoigne-t-il.

Le format intensif a même permis d’impliquer non seulement le comité de développement durable, mais aussi des membres du personnel issus de différentes directions du siège social de l’Université du Québec et de son réseau. Cette synergie a ouvert la porte à différentes personnes afin d’analyser les obstacles auxquels elles font face, mais aussi d’élaborer leur propre vision du développement durable sans se contraindre d’un cadre préexistant.